Des scientifiques climato-sceptiques tels que Beck, Lindzen et Courtillot ont souligné les faiblesses du GIEC avec des arguments plus ou moins convaincants. Jean Jouzel leur répond : oui, le GIEC a fait des erreurs ; mais oui, l’homme est responsable du changement climatique et oui, on peut encore agir pour éviter la catastrophe.